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La signification de la sourate 01 Al-Fatihah ouvre (La Apertura) Du Saint Coran Edition bilingue anglais & espagnol

Surah al-Fatihah (arabe : سُورَةُ الْفَاتِحَة) est le premier chapitre (sourate) du Coran. Ses sept versets (ayat) sont une prière pour la guidance, la seigneurie et la miséricorde de Dieu. Ce chapitre a un rôle essentiel dans la prière islamique (salat). Le sens littéral premier de l’expression « al-Fatihah » est « l’ouvreur », ce qui pourrait faire référence à cette sourate comme étant « l’ouvreur du Livre » (Fatihat al-kitab), au fait qu’elle est la première sourate récitée en entier dans chaque cycle de prière (rakʿah), ou à la manière dont elle sert d’ouverture à de nombreuses fonctions dans la vie islamique quotidienne. Certains musulmans l’interprètent comme une référence à une capacité implicite de la sourate à ouvrir une personne à la foi en Dieu.
Le nom al-Fatihah (« l’ouvreur ou l’ouverture ») est dû au sujet de la sourate. Fatiḥah est ce qui ouvre un sujet ou un livre ou toute autre chose. En d’autres termes, une sorte de préface. Le mot الفاتحة est venu de la racine فتح qui signifie ouvrir, expliquer, divulguer, clés du trésor etc. Cela signifie que la sourate Al-Fatiha est le résumé de l’ensemble du Coran. C’est pourquoi nous récitons un autre Ayat ou une autre sourate avec la Fatiha dans nos prières. C’est-à-dire que la sourate Al-Fatiha est jumelée avec le reste du Coran entier.
Il est également appelé Umm Al-Kitab ( » la mère du livre « ) et Umm Al-Quran ( » la mère du Coran « ) ; Sab’a al Mathani ( » Sept répétées « , appellation tirée du verset 15:87 du Coran) ; Al-Hamd ( » louange « ), car un hadith rapporte que Mahomet aurait dit que DIEU dit :  » La prière est divisée en deux moitiés entre Moi et Mes serviteurs. Lorsque le serviteur dit : ‘Toute louange est due à Dieu’, le Seigneur de l’existence, Dieu dit : ‘Mon serviteur m’a loué’  » ; Al-Shifa’ ( » la Cure « ), car un hadith rapporte que Mahomet a dit : « L’ouverture du Livre est un remède à tout poison » ; Al-Ruqyah (« remède » ou « cure spirituelle »). et al-Asas, « Le fondement », en référence au fait qu’il sert de fondement à l’ensemble du Coran.

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